Voici les 9 projets d’affiches proposés par les étudiants de la promotion Design Graphique 2013/2014 de Supcréa.
Olivier Maria. Mon affiche représente l’union de deux camps séparés par une frontière paraissant infranchissable. C’est un appel à changer son regard sur l’autre et à apaiser un contexte social tendu.
Sophie Girard. J’ai choisi de travailler sur l’aspect festif. J’ai décidé de mettre en avant un côté joyeux et enfantin pour illustrer la recherche d’identité sans jugement, à travers un regard nouveau et spontané, et ainsi donner au festival une identité festive, un symbole de tolérance et accessible à tous.
Anaïs Berthelot. L’affiche s’inspire des origines du cinéma et du principe de projection de la lanterne magique. Le visuel tend à retranscrire la magie, les émotions transmises par le cinéma à travers les âges. Il inclut des éléments anachroniques mais aussi un aspect contemporain via le traité graphique épuré et géométrique.
Doriane Bellet. Un regard à l’image du public invité à découvrir un univers qu’il ne connaît pas, un univers d’échange sur des thèmes qui nous concernent tous : le genre et l’amour.
Manon Rouzier. J’ai travaillé sur l’épure, l’évocation de Cocteau pour proposer deux visages qui s’embrassent sur une texture de peau.
Antoine Volpe. Le spectateur est à la base de l’expérience cinématographique, c’est de lui que sont issues les histoires. J’ai donc choisi de projeter le nom du festival sur un visage.
Lucile Bretteville. La ville de Grenoble est pour tous la vue qu’on a en face. Finalement le fleuve va au-delà des montagnes d’où vient le soleil. Les nuages cachent l’horizon, comme une invitation à venir voir ce qu’il y a par-delà les montagnes et derrière le «vues d’en face».
Romain Wohlgroth. L’affiche évoque le chemin à parcourir pour se comprendre en utilisant un motif urbain redondant, le passage piéton. Les 2 personnages qui se regardent au loin symbolisent la traversée possible.
Renaud Guerin. J’ai utilisé les codes graphiques du cinéma américain et, dans le Drive-in, développé les notions d’intimité et de voyeurisme. L’affiche est mise en abîme dans l’écran de projection.